Vendredi soir, première nuit. J’attends mon soumis avec impatience, j’ai déjà préparé ma tenue de latex qui trône fièrement accrochée à mon paravent. Il s’agit d’une lingerie type robe moulante arrivant jusqu’au sexe et se terminant en porte jarretelles. Je regarde l’heure, plus que deux minutes. J’en profite pour mettre en évidence le talc et pour enfiler un kimono en soie et ma paire de talons aiguilles. Une musique d’ambiance que j’aime particulièrement, une grosse bougie, et lorsque mon soumis arrive, je lui indique le coussin sur lequel il doit s’agenouiller. Je lui enfile son collier, il connaît déjà les règles de ce rendez-vous qui va durer tout un week-end. Je le sens stressé, il ne sait pas à quelle sauce il va être mangé, je le sens impatient aussi, et son cœur bondit dans sa poitrine lorsque je le tiens fermement par la mâchoire pour lui rappeler qu’il va être à ma merci jour et nuit. Je lui ordonne de se dévêtir complètement, et je découvre sous son dessous une jolie cage de chasteté dont il me tend les clés, au bout d’un ruban que je mets à mon cou. Voilà le collier le plus satisfaisant qui soit : sa chasteté forcée.
Il rougit en me voyant l’inspecter, le soupeser. Je lui demande s’il a les couilles pleines, car il est hors de question de se présenter devant moi déjà vidé… Il acquiesce timidement. C’est un jeune homme, la vingtaine, un corps fin et sec. Je le connais depuis quelques années. J’évalue son degré d’envie et scrutant son sexe gonflé dans sa cage. Maximum. Je souris d’un air pervers et j’ôte royalement mon kimono, dévoilant mon corps vêtu d’une culotte ouverte seulement. Ni plus, ni moins. Je le vois déglutir, ne sachant pas ou regarder. Mes seins, mes hanches, mes tatouages. Je lui ordonne de préparer mon corps à l’enfilage de ma robe en latex. Il s’exécute maladroitement, en talquant toutes les zones où le latex sera ma seconde peau, puis il talque également l’envers de ma tenue. Il m’aide ensuite à l’enfiler, comme une seconde peau, et la dépoussière à l’aide d’un chiffon propre. Passer ses mains sur mon corps moulé de latex l’excite plus qu’il ne voudrait le montrer, et chaque impulsion de sang dans sa queue bandée le fait tressaillir, pour ma plus grande satisfaction. Pour terminer ma préparation, il fait briller mon latex avec le shiner, frottant comme la lampe d’Aladin mes courbes jusqu’à ce qu’elle reluisent. Là, je suis vêtue.
Je lui ordonne de ranger ce matériel pour faire place nette, puis de s’allonger sur le dos au pied de mon fauteuil sur le tapis et d’ôter mes talons aiguilles. Je m’en sers de repose pied tandis que je lis mes messages du jour. Mes pieds nus et vernis de rouge viennent sur sa face soumise et je lui interdis strictement de sortir sa langue. Il n’est là que pour être mon repose pied. Ni plus, ni moins. Je m’amuse bien sûr à le laisser entrevoir ma culotte ouverte, à laisser mes pieds s’égarer sur sa cage de chasteté… Je le fais aussi longtemps qu’il me plaît. Après tout, nous avons le temps. Mon objectif est qu’il se remplisse de sperme à tel point qu’il ne fera que me supplier de jouir. Et cela arrivera vite, je le sais déjà. Je tripote la clé ouvertement à mon cou, puis je lui ordonne de se mettre à quatre pattes et de me lécher les pieds avec dévouement. Il gémit de cet ordre car il est si serré que cela devient difficile pour lui de contenir ses émotions. J’en profite. Je lui ordonne de les lécher jusqu’à ce qu’il s’écroule, du mal de genoux, du mal de mâchoire, et lorsqu’il gît et geint au sol je lui ordonne d’un voix ferme de se taire et je lui enfonce tous mes orteils le plus profondément possible dans la gorge. Là, je ne l’entendrais plus…
Je finis par l’attacher pour la nuit, je l’encorde au niveau des mains et des genoux, et je lui désigne un bout de tapis où il dormira, au pied de mon lit. Je ne lui laisse aucun confort, ni coussin, ni couverture, une façon aussi de l’empêcher d’avoir un sommeil réel et de se souvenir qu’il est encagé toute la nuit… Je m’endors comme une reine d’un sommeil paisible, je sais qu’il ne pourra pas s’en aller puisque je l’ai également attaché par le collier à la structure du lit.
Samedi matin, je me réveille et je le détache, reprenant place sous ma couette moelleuse. Je lui ordonne d’aller préparer et de m’apporter mon petit déjeuner. Je lui énumère ce que je veux manger et boire, et j’agite la petite clé en lui disant que s’il est sage aujourd’hui peut-être que je le libérerais. Il me rapporte un plateau garni, il est nu, il est courbaturé, et je lui ordonne de déposer le plateau au pied du lit et de s’allonger sur le ventre sur le lit. Tandis que je pioche sur le plateau et déjeune, je lui pose un plug anal de belle taille prévenir, ayant profité qu’il soit en cuisine pour le préparer. Le rosebud froid lui arrache un cri de surprise, et je lui ordonne de se taire et de le prendre dans le cul sans broncher, sous peine de coups de fouet. Il s’exécute mais je le sens trembloter, ce qui n’est rien comparé à ce que je compte lui faire… Je picore ici et là, et je saisis le vibromasseur qui ne quitte jamais mon lit pour le plaquer contre son plug, en le faisant vibrer en alternance. Il se tortille et gémit, mais je l’ignore, poursuivant mon petit déjeuner. Une fois rassasiée, je décide de le coller à sa cage de chasteté et je le fixe avec du tape collant, qui l’empêchera de se soustraire à cette torture. Je le baillonne avec un gagball volumineux. Je lui précise que s’il jouit je le fouette, et je lui attache les quatre membres au lit par des menottes, avant d’aller faire ma toilette. Je l’entends geindre et cela me satisfait pleinement, et sans surprise à mon retour, il a jouit dans sa cage.
Incapable de se retenir, je lui fais remarquer qu’il est faible et qu’il devrait avoir honte d’être ainsi l’esclave de sa queue. Je le détache, lui laissant son gagball et son plug et je lui ordonne de s’agenouiller sur le prie-dieu en me tendant les fesses. Je choisis un martinet court et je le fouette longtemps. Jusqu’à ce qu’il pleure. Jusqu’à ce que sa peau soit violacée. Son cul ressemble à un vrai champ de fleurs… Je lui laisse des quart d’heure de répit en reprenant ainsi jusqu’à midi, et bien sûr je ne le libère pas de sa cage. En ais-je vraiment eu l’idée ?… Finalement j’arrête les jeux d’impact sur les coups de midi, lui rendant sa bouche baveuse en retirant le bâillon et lui signifiant qu’il a fait pénitence pour sa grossière erreur. Je lui commande le déjeuner et il part en cuisine, en frottant son cul endolori. Lorsqu’il revient avec mon déjeuner je le met à quatre pattes. J’ai déjà en main ma badine qui le menace en cas de nouvel écart et le message passe très bien… Je dépose le plateau sur son dos et il me sert ainsi de table humaine. J’adore les tables humaines. Je trouve ça si excitant d’objetiser un homme… Il a pour consigne de ne pas bouger d’un pouce et de rester bien droit, pour ne pas faire glisser le plateau. Si satisfaisant d’en faire un meuble.
Je mange et une fois le ventre plein, je remonte mes pieds sur mon fauteuil et je me saisis de mon vibromasseur avec lequel je me masturbe sans m’en cacher. Bien entendu, il ne peut pas voir de là où il se trouve, et sa frustration n’en est que plus grande de pouvoir écouter sans profiter de la vue… Je jouis dans un hoquet de plaisir, j’ai pris mon temps, laissant l’orgasme arriver lentement… Je bois un peu de vin sur le plateau et je repose le tout au sol en lui intimant de tout aller déposer dans l’évier et de revenir sans traîner à mes pieds. Il bande de nouveau dans sa cage, ce qui me fait rire, j’en profite pour me moquer de lui et de sa bite inutile ainsi enfermée. J’écarte les cuisses et ma culotte ouverte découvre ma chatte encore toute mouillée de ma jouissance. Face au spectacle, il geint de sentir sa queue cogner si fort, et en appuyant sur sa nuque avec ma badine je le ramène à mon sexe en lui ordonnant de bien me nettoyer avec sa langue. J’insiste sur le fait que tout doit être parfaitement propre et j’appuie encore sur sa nuque pour insister. Une fois fait je l’installe debout au milieu de la pièce et je l’enveloppe d’un wrap épais et noir. Je bloque ainsi ses bras le long de son corps, je le pousse sur le lit sur le dos et je viens m’asseoir sur son visage pour faire une petite heure de lecture. Parfois je fais exprès de me frotter à sa bouche, ou de l’étouffer. Je me lance dans un roman que j’adore, et je l’oublie littéralement à sa pauvre posture d’esclave siège…
Lorsque j’achève ma lecture, je découpe à l’aide de mes ongles longs une ouverture sur sa cage de chasteté, et je le retourne pour faire de même avec son cul. Je garde ainsi uniquement ce qui m’intéresse. Je le laisse à plat ventre et j’enfile mon gode ceinture préféré. J’étale sur le lit quelques plugs variés. Je lui dit qu’avec ce rosebud dans son cul depuis toutes ces heures il est maintenant bien dilaté comme je le voulais et qu’il va prendre dans le cul jusqu’au fond de la gorge tout ce qui me plaira. D’une main experte je retire le rosebud et j’enfile mes gants en latex noir. Je le bâillonne d’une main et de l’autre je le doigte sérieusement, sans le ménager. Dans un grognement de satisfaction qui ignore ses gémissements je lui explique que sa petite chatte est bien dilatée et que je ne suis là que pour la dilater davantage, comme il le mérite. Mon esclave immobilisé peut bien essayer de se débattre, il est à ma merci, et je finis par venir lui ordonner de sucer ma queue en lui assénant une irrumation digne de ce nom. Il bave, ses yeux pleurent, mais plus il est vulnérable et plus cela me plaît. Je m’amuse ainsi à le goder et à le prendre par tous les trous disponibles le reste de l’après midi, le laissant épuisé, misérable et baveux. Il est de toutes façons séquestré à demeure pour encore un jour, je ne vais pas me priver de l’exploiter et je le lui rappelle impitoyablement en faisant le décompte des heures qui lui reste à subir en ma compagnie… Je le laisse wrapé et de nouveau plugué tandis que je commande mon dîner, et je ne le libère que pour aller récupérer la commande à la porte, habillé à la hâte et son collier bien dissimulé sur une écharpe.
À son retour, dans la grande boite à chapeau qui me sert de boite à lingerie, je finis par lui demander de me rapporter des bas et de mes les enfiler en les accrochant à mon porte jarretelles. Il gaine ainsi mes jambes de nylon et je lui ordonne de venir frotter son visage dessus, comme un chat qui se frotte aux jambes de sa maîtresse tandis que je m’installer à mon bureau pour manger. Il se glisse dessous et se frotte à mes pieds, à mes mollets, je m’amuse à effleurer sa cage avec et je le rend fou. Je lui indique qu’il va garder ce plug pour la nuit et qu’il va dormir cette fois sur le matelas à mes pieds. Il débarrasse mon dîner et de faire la vaisselle de la journée . Puis je le menotte pour la nuit, il a ordre de me masser les pieds jusqu’à ce que je m’endorme et de recroqueviller sur mes pieds sans sourciller jusqu’au lendemain.
Au petit matin je me réveille en me caressant. J’ai envie de jouir dès le réveil. Je le lui fais savoir et il vient me lécher docilement jusqu’à ce que je jouisse. Il le sait, cela peut durer longtemps, et ses crampes à la langue ne me font ni chaud ni froid, tout ce que je désire c’est qu’il soit un bon sextoy, et qu’il fasse son job. Il est toujours en cage. J’aime cette idée, qu’il se remplisse de nouveau contre les parois de sa prison et qu’il ne puisse pas récupérer les clés tant que je ne l’ai pas décidé. Je me contorsionne un peu sous ses coups de langue, je me mets sur le ventre et je lui ordonne de lécher plus fort. Je jouis d’ailleurs fort et je me détend de nouveau. Je lui dis de changer ma tenue et de préparer le matériel pour cela. Mon choix se porte sur une jupe latex et un soutien gorge assorti. Je me lave, l’obligeant à tenir à bout de bras ma serviette et à baisser les yeux, puis il me vêtit de cette nouvelle tenue. Je plaque sa face contre ma seconde peau déjà chaude, noire et luisante, et il me lustre avec application.
Je lui dis de s’habiller et nous sortons déjeuner au café du coin. Il a pour ordre de porter mon sac, de tirer ma chaise, de manger en silence et d’aller payer la note. Cela ne dure pas longtemps et je savoure ce moment de calme dans l’air frais du matin. J’ai masqué ma tenue de latex dans un grand manteau noir, lui seul sait ce qui se trouve en dessous... La matinée se poursuit par une petite séance de torture, je prétexte qu’il ne m’a pas fait jouir assez vite et je le fouette, je lui pose ses pinces sur les testicules, je le le prend au gode ceinture en le félicitant d’avoir le cul si élargi. Le pegging dure une bonne heure, quand on a un cul aussi ouvert je ne résiste pas à en profiter pour le fouiller longuement et profondément… Pendant que j’exécute mes basses œuvres, il est attaché les mains dans le dos et bâillonné, j’ai également menotté ses pieds. Il est ma petite poupée sexuelle et je ne manque pas de le lui rappeler pendant que je le tringle. Je l’ai posé à genoux sur un coussin, la joue collée à l’assise de mon beau canapé en cuir.
Lorsque j’en ai assez, je louvoie vers ma boite à matériel pour d’autres jeux. Je m’amuse à faire couler de la cire sur son cul qui porte de sévères marques de la veille jusqu’à l’heure du déjeuner où nous allons nous quitter. J’ai décidé de profiter de ce beau dimanche pour aller me promener dans mon parc préféré, je lui demande avant de nous séparer de me déshabiller complètement et de laver mes vêtements de latex, de les étendre et de les désinfecter. J’inspecte son travail au fur et à mesure en brandissant ma badine et je le fouette quand je le trouve mal exécuté. Il s’applique, et je finis par lui rendre sa clé de cage en le laissant tout de même dedans, puisqu’au fond je n’avais même pas envisagé de le laisser libre… Avec un sourire satisfait et pervers. Il se rhabille et je lui ôte son collier, le rendant à sa semi liberté. Il me remercie humblement et se retire, encore un peu ailleurs, quelque part entre deux fesses de latex probablement… Un week-end comme je les aime...
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